Épilobe en épi

Epilobium angustifolium L., 1753

Classe : Equisetopsida Ordre : Myrtales Famille : Onagraceae Sous-Famille : Onagroideae Tribu : Epilobieae Genre : Epilobium

  • 179
    observations

  • 28
    communes

  • 65
    observateurs

  • Première observation
    1979

  • Dernière observation
    2023
Albert Christophe - Baisset Marcel - Bartalucci Nicolas - Parc National Des Ecrins - Bazoge Claire - Bellon Hubert - Benyoub Abdelbaki - Bernard Julie - Bernard Pierre - Bertini Christian - Billard Gilbert - Bonet Richard - Bouche Michel - Bouvier Martial - Brahim Julia - Brugot Didier - Bulle Tommy - Campagne Pascal - Certain Narcisse - Chapurlat Claire - Chas Edouard - Chevallier Thierry - Combrisson Damien - Coulon Mireille - Coursier Cyril - Dalmas Jean-pierre - Daumark Bruno - Denis Nans - Dentant Cédric - Digier Marion - Dova Emmanuelle - Dumas Pierre - Dupuis Etienne - Estachy Robert - Gattus Jean-christophe - Girardon Christophe - Goulet Frédéric - Hallez Alexandre - Icardo Emmanuel - Imberdis Ludovic - Jendoubi Samy - Jordana Régis - Lefrançois Olivier - Llas Cynthia - Merhan Baptiste - Merle Hugues - Mottet Jean-claude - Nesci Fabio - Nicolas Marie-geneviève - Nicollet Bernard - Nicollet Jean-pierre - Ollieu Eric - Pierre Salomez - Puissant Joël - Roche Daniel - Roger Claude - Salomez Pierre - Terreau Alexandre - Tessier Du Cros Bruno - Thiriat Hippolyte - Thomas Bernard - Tournier Aïla - Vannard Eric - Villaret Jean-charles - Vincent Dominique - Warluzelle Olivier

Informations sur l'espèce

Cette plante vivace élevée de plus d'un mètre, profite des innombrables rejets de sa souche pour investir sous forme de grands massifs les lieux où elle s'est implantée. Sa grande tige glabre porte une multitude de feuilles longues et étroites (angustifolium). Ses nombreuses et belles fleurs purpurines se regroupent en un grand épi lâche du plus bel effet. A l'automne, chacune d'entre elles est remplacée par une capsule longiligne qui en éclatant fournira un lot de graines soyeuses emportées par le vent ou celui qui la frôle.
A cause de l'apparence de ses feuilles, cet épilobe est appelé laurier de Saint-Antoine. Il fut très utilisé pour les affections prostatiques, tout comme à usage ornemental. Il pousse de préférence en moyenne montagne mais étonnamment aussi, sur les rivages bretons et scandinaves.
Lisières et clairières | Forêts d'ubac | Hêtraie-sapinière
Circum-boréale
Chamaenerion angustifolium (L.) Scop., 1771 | Chamaerion angustifolium (L.) Holub, 1972 | Chamerion angustifolium (L.) Holub, 1972 | Epilobium brachycarpum Leight., 1841 | Epilobium gesneri Vill., 1779 | Epilobium gracile Brügger, 1882 | Epilobium leiostylon Peterm., 1849 | Epilobium macrocarpum Stephan, 1842 | Epilobium neriifolium H.Lév., 1896 | Epilobium rubrum Lucé, 1823 | Epilobium salicifolium Stokes, 1812 | Epilobium salicifolium Clairv., 1811 | Epilobium spicatum Lam., 1779 | Epilobium variabile Lucé, 1823 | Epilobium verticillatum Ten., 1815 | Pyrogennema angustifolium (L.) Lunell, 1916

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles