Criquet ensanglanté

Stethophyma grossum (Linnaeus, 1758)

Classe : Insecta Ordre : Orthoptera Famille : Acrididae Sous-Famille : Locustinae Tribu : Parapleurini Genre : Stethophyma

  • 75
    observations

  • 21
    communes

  • 31
    observateurs

  • Première observation
    1979

  • Dernière observation
    2023
Albert Christophe - Barbe Fanny - Bello Anne - Bertrand Nicolas - Brahim Julia - Braud Yoan - Combrisson Damien - Corail Marc - Coulon Mireille - Delenatte Blandine - Denis Nans - Dentant Cédric - Dova Emmanuelle - Dupuis Etienne - Evin Emmanuel - Giraud Fanny - Goulet Frédéric - Gueguen Alain - Icardo Emmanuel - Imberdis Ludovic - Jendoubi Samy - Lefrançois Olivier - Maillard Donovan - Maillot Roger - Meeus Guido - Morin Didier - Nicolas Marie-geneviève - Serie Marie-george - Thiriat Hippolyte - Tournier Aïla - Warluzelle Olivier

Informations sur l'espèce

Ce criquet de belle taille porte le nom d'ensanglanté car la femelle est souvent maculée de rouge pourpre. Sa couleur générale est vert olive. Le bord des tegmina est jaune de même que les tibias, lesquels portent des épines noires. Le dessous du fémur des pattes postérieures est rouge. Le mâle adopte parfois un vert et un jaune très lumineux si bien qu'on pourrait le confondre avec le criquet bariolé. Le criquet ensanglanté fréquente exclusivement les zones humides, où il est observable en été jusqu’à 2 700 m.
Le criquet ensanglanté fréquente exclusivement les zones humides. On peut y entendre les petits « clics » qu'il produit en relevant un fémur et en le détendant brusquement, ce qui entraîne le frottement des épines du tibia sur les nervures d'une tegmina. Ces « clics » sont émis principalement par les mâles pour séduire les femelles mais, en cas d'alerte, les femelles peuvent aussi les produire. Comme tous les habitants des zones humides, cette espèce a fortement régressé en France du fait du drainage et de la destruction de son milieu.
Sources, suintements et mouillères | Prairies humides, mégaphorbiaies et roselières
Européenne occidentale
Gryllus grossum Linnaeus, 1758 | Mecostethus grossus (Linnaeus, 1758) |

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles