Phalarope à bec large
Phalaropus fulicarius (Linnaeus, 1758)
- 2 observations
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2
communes -
3
observateurs -
Première observation
2020 -
Dernière observation
2024
| Titre | Auteur | ||
|---|---|---|---|
| Une observation ornithologique exceptionnelle à Embrun | Parc national des Ecrins | ||
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Description :
Samedi 21 novembre, Henry Ripert, naturaliste et ancien garde ouvrier du Parc national est intrigué par la présence sur le plan d’eau d’Embrun d’un petit échassier qui nage… Après quelques minutes d’observation, photos et vérifications à l'appui, le doute n’est plus possible : il s’agit d’un phalarope à bec large (Phalaropus fulicarius). Il s'agit de la première observation de cette espèce dans les Hautes-Alpes. Date : 2020-11-27 |
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Bouche Michel
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Ripert Laurent
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Rippert Laurent
Informations sur l'espèce
Le phalarope à bec large est un « limicole qui nage », avec ses longues pattes aux doigts partiellement palmés. Flamboyant en plumage nuptial, il est plus terne lorsqu’on l’observe en automne sur nos côtes, avec sa virgule grise sur l’oeil et une petite touche de couleur à la base du bec.
Son comportement hyperactif, nageant et picorant de droite et de gauche à la surface de l’eau, est caractéristique des phalaropes.
Le phalarope à bec large est un oiseau des zones circumpolaires de l’hémisphère nord. En hiver, il est pélagique et redescend au large des côtes de l’Afrique. Ce n’est qu’à la faveur de tempêtes qui le poussent vers les terres lors de sa migration que nous avons l’occasion de l’observer en France, principalement sur le littoral atlantique, parfois méditerranéen, et plus rarement sur les rives des grands lacs.
Une fois n’est pas coutume chez les oiseaux, c’est la femelle qui est la plus colorée au moment de la reproduction, dans les marais de la toundra groenlandaise ou islandaise. Et ce sont les mâles qui couvent et élèvent les jeunes.
Lacs et mares
Circum-boréale
Phalaropus fulicaria (Linnaeus, 1758)
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Tringa fulicaria Linnaeus, 1758