• 22
    observations

  • 10
    communes

  • 12
    observateurs

  • Première observation
    1979

  • Dernière observation
    2023
Bouche Michel - Combrisson Damien - Coulon Mireille - Couloumy Christian - Delcourt Alain - Dubois Cecile - Fougeray Daniel - Fournier Martine - Francou Michel - Lombard Jean-françois - Nouailhat Alexis - Picod Régis

Informations sur l'espèce

Comme la coronelle lisse, la coronelle girondine se distingue des autres couleuvres par sa petite taille, son écaillure lisse et brillante et la présence d'une bande noire latérale. La face ventrale en damier est par contre un critère de distinction propre à C. girondica. D'affinité méridionale, l'espèce ne dépasse qu’exceptionnellement 1 000 m d'altitude. Dans les Ecrins, on ne la trouve guère que dans l'Embrunais.
Contrairement à la coronelle lisse, la coronelle girondine est ovipare. Assez éclectique, elle fréquente tous les habitats abritant de bonnes populations de lézards de murailles qui constituent sa proie principale même si, à l'occasion, elle peut aussi chasser d'autres serpents. Il n'est pas rare de la trouver proche des habitations et des routes où elle est d'ailleurs régulièrement victime d'écrasement par les véhicules.
Bords de chemins, de routes et de voies ferrées | Bâtis | Clapiers d'épierrement | Eboulis | Falaises de basse et moyenne altitudes | Forêts d'adret | Forêts de chênes blancs et de pins sylvestres | Friches et broussailles | Haies et talus | Lisières et clairières | Parcs et jardins | Pelouses sèches montagnardes | Rives de sable et galets | Rochers embroussaillés | Vergers et vignes
Européenne méridionale
Coluber girondicus Daudin, 1803 | Coluber meridionalis Daudin, 1803 | Coluber riccioli Metaxa, 1823 | Coluber rubens Gachet, 1829 | Coronella leavis var. hispanica Boetgger, 1869

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles