Belette d'Europe

Mustela nivalis Linnaeus, 1766

Classe : Mammalia Ordre : Carnivora Famille : Mustelidae Sous-Famille : Mustelinae Genre : Mustela

  • 184
    observations

  • 35
    communes

  • 80
    observateurs

  • Première observation
    1976

  • Dernière observation
    2024
Abdulhak Sylvain - Albert Christophe - Albert Raymond - Argentier Bruno - Armand Georges - Baisset Christian - Balme Joseph - Barbe Fanny - Bayle Patrick - Bello Anne - Bellon Hubert - Benyoub Abdelbaki - Bernard Pierre - Bertini Christian - Bertrand Nicolas - Blanchet Laurent - Bouche Michel - Briotet Daniel - Brugot Didier - Brugot Rémi - Brun André - Bulle Tommy - Caullireau Guy - Chaud Marcel - Chevalier Robert - Corail Marc - Cortot Hervé - Coulon Mireille - Couloumy Christian - Coursier Cyril - Daumark Bruno - Delenatte Blandine - Denis Nans - Derivaz Serge - Dova Emmanuelle - Dumas Pierre - Durix Sylvie - Evin Emmanuel - Faure Joël - Faure Robert - Foret Jérôme - Fougeray Daniel - Francou Michel - Garnier Manon - Gonsolin Gabriel - Goulet Frédéric - Inconnu Parc National Des Ecrins - Jendoubi Samy - Jordana Régis - Juge Joseph - Keck Robert - Kieser Xavier - Lecourtier Christiane - Magnolon Séverine - Maillet Thierry - Marie Alain - Meeus Guido - Nicolas Marie-geneviève - Nicollet Bernard - Nicollet Jean-pierre - Nobili Vincent - Ollieu Eric - Papet Rodolphe - Payan Simon - Puissant Joël - Reynaud Hervé - Rippert Laurent - Roche Daniel - Roger Claude - Sagot Clotilde - Sciences Participatives - Semiond Patrice - Sigaud Jean - Telmon Jean-philippe - Thomas Bernard - Thomas Sylvie - Turc-gavet Pierre - Varreau Hervé - Vincent Dominique - Warluzelle Olivier

Informations sur l'espèce

La belette est un mustélidé pesant à peine 100 g, ce qui en fait le plus petit carnivore d'Europe. Son pelage est brun sur le dos et crème sur les parties inférieures. La queue, courte sans noir à l'extrémité, la différencie de l'hermine avec laquelle elle pourrait être confondue. Elle fréquente des milieux variés allant de la plaine aux pelouses alpines mais reste difficile à observer en raison de la rapidité de ses déplacements.
Son corps très allongé lui permet de s'introduire dans des trous d'à peine 2 cm de diamètre. Elle peut ainsi poursuivre dans leurs terriers et galeries les petits rongeurs (mulots, campagnols) qui constituent la majeure partie de son alimentation. Ses effectifs fluctuent fortement en fonction de l'abondance de ses proies
Bâtis | Bords de chemins, de routes et de voies ferrées | Champs labourés | Clapiers d'épierrement | Eboulis | Forêts d'adret | Forêts de chênes blancs et de pins sylvestres | Fossés et canaux | Fourrés de saules et d'aulnes | Friches et broussailles | Haies et talus | Landes montagnardes et subalpines | Litière forestière et humus | Mélèzins | Parcs et jardins | Pelouses alpines et subalpines | Pelouses sèches montagnardes | Prairies de fauche | Prairies humides, mégaphorbiaies et roselières | Ripisylves | Rochers embroussaillés | Sols des milieux ouverts | Vergers et vignes
Holarctique
Mustela alpinus | Mustela boccamela Bechstein, 1800 | Mustela corsicana Cavazza, 1908 | Mustela ibericus | Mustela italicus | Mustela meridionalis | Mustela minor sensu Nilsson | Mustela minutus | Mustela monticola | Mustela nivalis boccamela Bechstein, 1800 | Mustela nivalis corsicana | Mustela nivalis nivalis Linnaeus, 1766 | Mustela nivalis vulgaris Erxleben, 1777 | Mustela typicus | Mustela vulgaris Erxleben, 1777

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles